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Bienvenue dans le monde de la tortue d'Hermann. Un blog qui vous permettra de mieux comprendre le fonctionnement et  le

Bienvenue dans le monde de la tortue d'Hermann. Un blog qui vous permettra de mieux comprendre le fonctionnement et le mode de vie de cet animal à la fois attachant et passionnant. EN VOUS SOUHAITANT BONNE VISITE !

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NEWS ============ > ACTUALITES CHEZ LES TORTUES!!

Le 03/11/2010

 
Mise à jour: le 26/12/2011
Articles de tous genres pour rester informés de l'actualité des tortues




  ARTICLE PUBLIE LE 19 SEPT 2010 SUR USHUAIA NATURE: 

Titre: Var : un incendie tue des tortues d'Hermann
 
Plusieurs organismes de protection de l'environnement ont révélé jeudi (16 septembre) que cinquante-quatre tortues d'Hermann ont été retrouvées mortes après un incendie, qui a ravagé 37 hectares dans la commune de Péguier-le-Luc (Var) au mois d'août dernier. En revanche, huit ont été retrouvées vivantes.

"Ce bilan non exhaustif permet de penser que bien plus de tortues ont péri dans l'incendie. De plus, le feu a certainement détruit des oeufs se trouvant en incubation dans le sol à cette période de l'année" ont souligné plusieurs organismes associés dans le programme de protection européen LIFE "tortue d'Hermann", qui est la dernière espèce terrestre de France.

A l'état naturel, cette tortue ne vit plus que dans le Var et en Corse. Mais la plaine des Maures, régulièrement menacée par les flammes, abrite la plus grande population de France continentale, selon la même source.


ARTICLE PUBLIE LE 11 FEVR 2009 SUR USHUAIA NATURE:

Titre: 2 tortues albinos découvertes au Brésil


Des techniciens de la réserve biologique d'Abufari dans l'Etat d'Amazonas (nord du Brésil) ont trouvé deux petites tortues albinos parmi les 380.000 bébés tortues nés récemment sur ce site protégé de 280.000 hectares.
"C'est un phénomène rare. Sur les centaines de milliers de tortues qui naissent tous les ans dans la réserve, cinq au maximum sont albinos" a déclaré Elmano Augusto du service de presse de l'Institut Chico Mendes de conservation de la biodiversité.

Les tortues atteintes d'albinisme, une affection se caractérisant par une absence de pigmentation de la peau, due à l'absence de mélanine, sont plus sensibles aux rayons du soleil et plus fragiles.
"Elles sont aussi plus facilement localisables par les animaux prédateurs, comme les caïmans, et par les braconniers qui les vendent plus cher" a précisé Elmano Augusto.



   ARTICLE PUBLIE LE 12 AVRIL 2010 SUR FUTURA-SCIENCES:

Titre: La tortue étoilée de Madagascar est-elle née sous une mauvaise étoile ?

Il y en avait autrefois des millions, mais d’ici 20 ans elle aura peut-être disparue. Telle est la situation de la tortue étoilée de Madagascar, qualifiée de l’une des plus belles du monde en raison des motifs étoilés des écailles de sa carapace. La situation difficile de l’île-continent affecte en effet sévèrement les populations de cette tortue terrestre, proie facile pour les braconniers.

La tortue étoilée de Madagascar (Astrochelys radiata), appelée aussi tortue radiée, est une tortue terrestre des forêts épineuses du sud de l’île de Madagascar. Très appréciée comme animal de compagnie, elle peut atteindre 40 cm pour 20 kg et vivre 100 ans.

Autrefois très abondante, elle est désormais classée en tant qu’espèce en danger critique d’extinction sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et est inscrite à l’annexe I de la convention Cites. Autrement dit, son commerce est strictement interdit. « Il y a quelques années, personne ne pouvait imaginer que cette jolie tortue pouvait être un jour en danger, mais ainsi va le monde et les choses peuvent changer – et le font – rapidement » constate James Deutsch, directeur du programme africain de la Wild Conservation Society (WCS).

C’est la chasse qui est à l’origine du déclin rapide et tragique de cette tortue. Les conditions difficiles que connaît Madagascar, avec son agriculture défaillante et une sécheresse qui n’en finit pas, poussent les Malgaches à chasser ce gibier (autrefois) abondant et facile à capturer. Ils la chassent pour sa viande mais aussi pour en faire un commerce illégal en tant qu’animal de compagnie. Les troubles politiques qui agitent le pays accroissent ce phénomène.

« Les tortues étoilées sont en état de siège »

Selon les experts de la WCS et de la Turtle Survival Alliance (TSA), l’espèce pourrait disparaître d’ici 20 ans. « L’importance de la chasse à la tortue étoilée est similaire à la pression de chasse qu’a subi le bison américain au début du 20e siècle, lorsqu’ils ont presque tous été chassé jusqu’à l’extinction alors qu’ils se dénombraient en dizaines de millions » indique Brian D. Horne, coordinateur des programmes de conservation des tortues pour la WCS.

Les régions proches des zones d’habitations sont vidées par camions entiers, littéralement, et approvisionnent les marchés de viande de brousse urbains, constatent les scientifiques après avoir établi des sites d’étude qui n’ont révélé aucune tortue. Bientôt, annoncent-ils, ce seront les zones protégées…

Selon Rick Hudson, président de TSA, nulle tortue n’a connu un déclin si rapide au cours des temps modernes. La situation est vraiment critique et il faudra des efforts intenses pour préserver les habitats de cette espèce.

La tortue étoilée devra peut-être sa survie aux îles de La Réunion et Maurice. Elle y a en effet été exportée il y a plusieurs générations et près d’un foyer sur deux en possède au moins une, comme animal de compagnie.


  ARTICLE PUBLIE LE 13 AVRIL 2010 SUR MAXISCIENCES:  


Titre: La Dreal Paca pilote le plan national d'actions en faveur de la tortue d'Hermann

La tortue d’Hermann, unique tortue terrestre, est une espèce menacée, qui ne subsiste plus qu’en effectifs réduits dans le Var et en Corse.

La Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement  (Dreal) Provence-Alpes-Côte d'Azur assure la coordination du plan national d’actions en faveur de la tortue d’Hermann pour le compte du ministère de l'Ecologie.

La réalisation de ce plan doit permettre d’en améliorer l’état de conservation par des actions volontaires et partenariales pour restaurer les populations et habitats.

Fruit d’un travail collectif, le plan national d’actions (2009-2014) synthétise les connaissances biologiques disponibles sur cette espèce, décrit les principales menaces qui pèsent sur son avenir, fait un bilan des actions menées et propose une politique générale en faveur de sa protection.

Celle-ci s’articule autour d’un suivi cohérent des populations, de la mise en oeuvre d’actions coordonnées, d’une information des acteurs concernés et de l’intégration de la protection de la tortue d’Hermann dans les activités humaines et les politiques publiques.

Il se découpe en 4 parties :

  • un bilan des connaissances et des moyens utilisés pour la protection de l’espèce,
  • une description des besoins et enjeux de conservation de l’espèce et de la stratégie adoptée,
  • une présentation synthétique des objectifs et actions,
  • des fiches actions détaillées destinées aux acteurs pouvant intervenir dans sa conservation.

Une brochure de synthèse de ce plan a également été réalisée afin de présenter de façon résumée les grands axes du plan.

 

En téléchargement : la brochure de synthèse (format PDF - 2.9 Mo) et le plan national d’actions de la tortue d’Hermann ( 18.8 Mo ) (format PDF).



  ARTICLE PUBLIE LE 06 AOUT 2009 SUR MAXISCIENCES:


Titre:  Le zoo de Londres participe à un programme d’élevage de tortues des Galápagos.

Angleterre -  Le zoo de Londres accueille trois tortues géantes des Galápagos dans l’espoir de créer un programme d’élevage de ces animaux.

Depuis le 16 juillet, trois tortues des Galápagos font le bonheur des touristes venus visiter le zoo de Londres. Les éleveurs leurs prêtent une attention toute particulière car c’est sur elles que reposent les espoirs de monter un programme spécial basé sur leur élevage.

C’est ainsi que Dolly, 16 ans, Dolores, 14 ans et Dirk, 70 ans, ont fait leur apparition dans un nouvel enclos du zoo de Londres. Ces trois individus, spectaculaires, de tortues des Galápagos pèsent environ 200 kg. Ils semblent s’être déjà habitués à leurs éleveurs et acceptent leur nourriture.

Les tortues des Galápagos sont des herbivores parfaitement adaptés aux conditions de vie sur une île. Accoutumées à la chaleur, elles se nourrissent des végétaux présents dans leur environnement et sont capables d’effectuer des migrations spectaculaires en cas de manque de ressources alimentaires.


   ARTICLE PUBLIE LE 17 AVRIL 2009 SUR USHUAIA NATURE:

Titre: Une tortue géante refait l'actualité

La tortue géante à carapace molle, appelée Rafetus swinhoei, a de nouveau pointé le bout de son petit nez dans un lac à l'ouest de la capitale Hanoï au Vietnam. Cette découverte est capitale puisque cette espèce est l'une des plus menacées au monde et que les spécialistes la considèrent comme en voie de disparition.

La tortue est désarmée face à l'Homme qui la chasse pour la manger, qui pollue et détruit son habitat.

Le saviez-vous ? Cette tortue est vénérée au Vietnam et trône en plein coeur de la capitale vietnamienne. Elle symbolise les siècles de lutte d'indépendance du pays et bénéficie d'un statut légendaire parmi la population.

 

ARTICLE PUBLIE LE 12 JUILL 2009 SUR FUTURA-SCIENCES:

Titre:  La plaine des Maures abrite désormais une réserve naturelle

Dans le Var, au nord du massif des Maures, une zone de plus cinq mille hectares vient d'obtenir le classement en Réserve nationale naturelle.

Défenseurs de l'environnement, riverains, agriculteurs et chasseurs ont beaucoup discuté du classement en réserve naturelle d'une zone de 5.200 hectares, au cœur de la plaine des Maures, s'étendant, elle, sur 13.000 hectares, au nord du massif des Maures, cette petite chaîne montagneuse entre Toulon et Saint-Raphaël. Cinq communes sont incluses dans cette réserve, La Garde-Freinet, Le Cannet-des-Maures, Le Luc-en-Provence, Les Mayons et Vidauban.

Comme dans le reste du département, l'urbanisation et les activités touristiques entrent souvent en conflit avec la protection des milieux naturels. Certains parlent de « surprotection ». La région bénéficiait déjà en effet de plusieurs mesures qui se superposent : Znieff (Zone naturelle d’intérêt écologique floristique et faunistique), APB (Arrêté de protection de biotope), Natura 2000...

La tortue de Hermann, emblème de la région

 

La défense de l'environnement l'a finalement emporté et la première Réserve nationale naturelle du département du Var va donc prendre place autour du lac des Escarcets.

D'après le WWF, qui s'est impliqué dans le débat, cette zone « détient le record national de milieux et d’espèces à protéger en priorité ». C'est là que réside la tortue de Hermann, emblématique du massif et en voie d'extinction. Le classement en réserve nationale permet désormais, entre autres, de mettre en place une équipe chargée de gérer ce territoire.

Quant à la protection des plantes et des animaux, le choix des espèces pourra se faire selon des critères nationaux, alors que le classement Natura 2000 impose de s'appuyer sur l'intérêt patrimonial défini à l'échelle européenne.



    ARTICLE PUBLIE LE 17 JUILL 2009 SUR SCIENCE ENVIRONNEMENT:



Titre:  La Plaine des Maures : première réserve naturelle nationale dans le Var

Après plus de 15 années d’efforts du WWF-France et de ses partenaires, la Plaine des Maures vient d'être classée en Réserve Naturelle Nationale. Cette mesure de protection est une belle victoire pour les défenseurs de l’environnement. Le classement de ce site exceptionnel constitue un moyen efficace pour préserver la faune et la flore remarquables de la forêt méditerranéenne.

D’une superficie totale de plus de 5 200 hectares, cette première réserve nationale sur le département du Var détient le record national de milieux et d’espèces à protéger en priorité. Elle concerne cinq communes, celles du Cannet des Maures, de la Garde Freinet, du Luc en Provence, des Mayons et de Vidauban. Ce territoire constitue le noyau central de la grande Plaine des Maures, qui s’étend sur près de 13 000 hectares entre le massif des Maures, au Sud et à l’Est, et les collines calcaires du Nord à l’Ouest.

Depuis 1999, le WWF-France, en partenariat avec le CEEP (Conservatoire Etudes des Ecosystèmes de Provence), travaille pour connaître, protéger et sensibiliser à la richesse biologique exceptionnelle du Massif des Maures. L’acquisition et le financement, par le WWF et le CEEP, de parcelles inclues dans le périmètre de la réserve, ont facilité la mise en réserve. C’est notamment grâce à un partenariat avec Tetra Pak, leader mondial de l’emballage et entreprise citoyenne très concernée par la préservation des forêts de la planète, que le WWF a mené de nombreuses actions dans les Maures : études scientifiques sur la biodiversité des Maures, acquisitions de zones fragiles, mise en place d’un sentier de découverte, sensibilisation des scolaires…


La Plaine des Maures offre un paysage original, fait de mares temporaires, de vignes et de forêts, de pelouses, de maquis…autant d’habitats variés pour de nombreux animaux (oiseaux et insectes notamment) et plantes (orchidées). C’est aussi l’habitat privilégié en France, avec la Corse, de l’emblématique tortue d’Hermann. Seule tortue terrestre de France, elle est aussi l’un des reptiles les plus menacés.



    ARTICLE PUBLIE LE 08 AVRIL 2010 SUR ECONOSTRUM.INFO:




Titre:  La tortue d'Hermann couvée par l'Union européenne

EUROPE / FRANCE. L’unique tortue terrestre indigène française est en voie de disparition. Petite et discrète elle évolue entre le littoral varois et les massifs proches de l’Estérel et des Maures. La tortue d’Hermann « ne se reproduit plus dès que son habitat de sous bois et de lisières est menacé » rapporte le professeur Marc Cheylan (CNRS, Montpellier).

  Avec une espérance de vie de 60-80 ans, la population d’environ 40 000 individus reste visible, mais les nombreux aménagements, l’artificialisation d’un territoire très peuplé sur le littoral, en ôtant toute sécurité à ses lieux de ponte, amènerait l’espèce à ne plus se reproduire.

  « Il faut ajouter que les ramassages par les particuliers et un certain trafic ponctionnent nombre de tortues » renchérit Bernard Devaux, créateur d’un « Village des tortues  », prétexte aux recherches sur l’espèce.

  LUnion Européenne cherche maintenant à contrecarrer la tendance en faisant mieux connaître la tortue d’Hermann. Elle sera soutenue par un programme Life Biodiversité, sur cinq ans, doté d’un budget de 2,7 M€, dont l’UE fournit la moitié.  

L’Agence Régionale Pour l’Environnement Paca pilotera l’opération, dont le but est « de faire évoluer les comportements vis-à-vis de l’espèce ». Au programme : restauration d’habitats, sensibilisation des acteurs locaux et des nombreux touristes, et recherche scientifique, avec une forte option de communication.



    ARTICLE PUBLIE LE 25 JUIN 2010 SUR MARSACTU: 





Titre:  La petite tortue provençale menacée de disparition !

Vous ne la connaissez surement pas, mais si ça continue, vous n’aurez même plus l’occasion de l’apercevoir… Il s’agit de la tortue d’Hermann, un reptile ne dépassant pas les 20 cm, les 1,5 kg et vivant dans le Var. Elle est également la seule tortue terrestre de France.

On l’appelle aussi tortue des Maures et si l’on s’intéresse aujourd’hui à son cas, c’est qu’il y a urgence. Les derniers individus de l’espèce sont en train de disparaître et c’est le journal 20 minutes, dans son édition d’aujourd’hui, qui met en relief cet état de fait.

Encore un combat pour super Hulot

En 2004, c’est Nicolas Hulot qui lançait l’alerte, après les incendies que venaient de subir la Provence, et mettait ainsi un coup de projecteur sur la situation. En 1994, un premier plan de restauration avait déjà été mis en place par le Conservatoire d’Etudes des Écosystèmes de Provence, néanmoins, il n’avait pas reçu l’attention nécessaire. Il aura donc fallu près de 10 ans pour que l’on entende les revendications de la Fondation Nicolas Hulot.

 » à cause de l’urbanisation « 

Plusieurs facteurs expliquent la situation actuelle de la tortue Hermann, en plus des fréquents incendies. Le site internet de l’Agence Régionale Pour l’Environnement en PACA, nous explique qu’il s’agit à la fois de « la perte et de la dégradation de son habitat, à cause de l’urbanisation et l’aménagement du littoral méditerranéen. » L’homme en somme… Ce n’est pas tout, selon eux, « les pratiques agricoles ou forestières » ou encore « la prédation par les chiens », entre autres, font également partis des responsables.

Aujourd’hui, l’espèce est officiellement classée en danger par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature, ce qui implique une forte répression, exercée par le programme LIFE, des personnes mal intentionnées, qui s’adonneraient à la commercialisation de ces tortues, notamment sur le web. Les dernières tortues sont présentes en effectifs réduits dans le Var, mais également en Corse.

Le programme LIFE, co-financé à 50% par la commission européenne, participe aussi à la protection de l’espèce en préservant et même en agrandissant leur habitat. Ils participent également à la création de points d’eau, ainsi qu’à une « pacification » de l’environnement, car les forêts, les maquis denses et les vastes prairies du sud de la France sont hostiles à ces chères petites tortues.

 

 

 

  ARTICLE PUBLIE LE 19 FEV 2011 SUR LA VOIX DU NORD: 

 

Titre: Reptiles, amphibiens, arachnides: les NAC  attaquent dimanche à ESCAUDOEUVRES

 À l'état sauvage, la peau de cette dendrobate vous empoisonnerait rien qu'à son contact.

À l'état sauvage, la peau de cette dendrobate vous empoisonnerait rien qu'à son contact.
 

 1er SALON INTERNATIONAL TERRARIOPHILE

Des plus colorées aux plus repoussantes, des plus surprenantes aux plus dangereuses, elles seront des centaines de bébêtes en tout genre et de toutes les tailles à faire le bonheur des visiteurs, ce dimanche à Escaudoeuvres. Elles sont réunies dans la salle polyvalente à l'occasion du premier Salon international terrariophile.

 

PAR BRUNO DEMEULENAERE

bdemeulenaere@lavoixdunord.fr PHOTOS MARIE PEREIRA

 

Commençons par un peu d'étymologie pour bien comprendre ce que propose ce salon : « Terrariophile », c'est la conjonction deterrarium (une espèce d'aquarium dans lequel l'eau aqua est remplacée par de la terre terra) et phile, qui signifie « qui aime » en grec.

Et qui peut vivre dans ces terrariums ? Les reptiles (y compris les tortues, caméléons, lézards et autres iguanes), certains arthropodes parmi lesquels des insectes (phasmes...), des arachnides (araignées...) et des myriapodes terrestres (mille-pattes...), les amphibiens (grenouilles...), etc. Tous ces animaux ou bestioles constituent ce qu'on désigne souvent sous l'appellation « NAC », à savoir les Nouveaux animaux de compagnie.

 

« C'est sans doute la première fois qu'un salon exclusivement consacré aux NAC est proposé dans le Cambrésis », assure Yves Tanchon, président d'Espace nature et animalier, l'association organisatrice du salon. Des NAC, il y en avait aussi lors des manifestations déjà organisées par l'association (exposition féline, festival animalier...), mais cette fois, il n'y aura que ça ! On y trouvera donc une quantité impressionnante de représentants des différents ordres animaliers énoncés ci-avant, ainsi que l'alimentation et le matériel qui conviennent à leur bien-être, sans oublier les plantes (exotiques) pour terrarium qui viendront égailler leur habitat.

 

Vente et protection

Pas moins de trente-cinq exposants seront présents « et j'en ai refusé au moins autant, révèle l'organisateur qui regrette : Je ne peux pas pousser les murs de la salle ! ». Ils viennent pour vendre, bien sûr, mais pas à n'importe quel visiteur en ce qui concerne certains animaux. « Acheteurs et vendeurs doivent être titulaires d'une capacité », explique Yves Tanchon, qui rappelle que cet examen a pour but de défendre les animaux protégés, visés par la fameuse Convention de Washington. Il y aura aussi des associations qui viendront militer pour la protection des espèces et éviter les trafics animaliers. Une approche dans le droit fil des objectifs de l'association qui sont d'« organiser des festivals animaliers et floraux afin de sensibiliser les enfants au respect de la nature et participer, au quotidien, à la protection de la vie sauvage ».

 

Exceptionnellement, ce salon ne dure qu'une journée. Ce qui ne devrait pas pour autant en limiter le succès : « Vous n'imaginez pas le nombre de jeunes du Cambrésis qui ont chez eux un petit reptile, un lézard », certifie encore l'organisateur qui explique avoir été lui-même surpris par ses recherches, à ce propos, sur Internet. Mais rien n'empêche aux autres, qui ne détiennent pas de tels animaux à domicile, de venir s'y intéresser ou juste les découvrir.

 

  ARTICLE PUBLIE LE 30 MARS 2011 SUR CLICANOO: 

 

Titre:  Condamnée pour l'importation de 41 tortues de la Réunion

 

La retraitée varoise de 65 ans qui avait mis en place un trafic de tortues en provenance de la Réunion a été condamnée à 5000 euros d’amende et son vétérinaire à 2 000 euros, rapporte le journal Var Matin.

L’affaire remonte au 18 avril 2010. A Gillot, avant de prendre son avion la métropole, Jacqueline Viot-Baueur, 65 ans, une retraitée installée dans le Var est interpellée. Les douaniers ont découvert dans ses bagages une caisse en bois contenant une tortue radiata de 8 kg et douze petites tortues de la même espèce dissimulées dans des chaussettes. La plus grosse est dotée d’une puce. Mais les données enregistrées ne correspondent pas à l’animal. Il s’agit d’une femelle et le certificat informatique fait état d’un mâle. D’autres curiosités sont retrouvées dans les affaires de la retraitée : un lecteur de puces et des seringues. Dans le Var, le domicile de la retraitée est perquisitionné. Au total, 41 tortues sont recensées. Outre la fameuse radiata - dont le prix est estimé à 9000 euros à la revente -, les enquêteurs évaluent la valeur de l’ensemble de la saisie à 70000 euros. L’enquête va montrer que Jacqueline Viot-Baueur s’est procuré des kits auprès d’un vétérinaire, le Dr Gérard Nis, afin de pucer les tortues. Ces kits étaient par ailleurs accompagnés de formulaires pré-remplis par le professionnel. La retraitée qui se décrit comme une passionnée de tortues ainsi que le vétérinaire ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel de Toulon où ils ont été jugés avant-hier.

LA SEXAGENAIRE NIE UN TRAFIC

À la barre, la sexagénaire a dû s’expliquer sur la détention et le transport d’espèces protégées. “Vous êtes une passionnée, vous dites aimer les tortues et vous les transporter dans des chaussettes en soute. Vous avez déjà voyagé en soute à bagages madame ?” a demandé la présidente du tribunal. “On a aussi trouvé beaucoup d’espèces protégées à votre domicile : des hermann, des radiata, des cistudes. Même des cadavres de tortues dans le congélateur. Vous trouvez ça normal.” Jacqueline Viot-Baueur campe sur sa position. Ces bêtes, elle les aime. Elle a commis des erreurs mais assure n’avoir pas monté de trafic. Et la magistrate de s’étonner. “À La Réunion, vous achetez 800 euros, en liquide, une tortue sortie d’un coffre. On peut se demander ce que vous alliez en faire. Surtout lorsque l’on sait qu’elle peut être revendue près de 9000 euros”. La prévenue conteste. Elle voulait simplement remplacer une tortue décédée. Sur l’utilisation des kits et des puces d’identification, elle précise les avoir utilisés sans intention mercantile. “Et puis, j’avais engagé des démarches pour être dans la légalité. J’ai obtenu une capacité pour détenir des espèces protégées. Le renouvellement était en cours. Je n’ai jamais pensé à mal.” La réponse de la présidente fuse. “En général, d’abord on passe le permis et après on conduit.” Interrogé, le vétérinaire, poursuivi pour exercice illégal de la chirurgie vétérinaire, a expliqué ne pas être un spécialiste des tortues. “Je connaissais cette dame depuis des années, je n’ai pas pensé à mal en lui vendant des kits.” La représentante du ministère public a requis trois mois de prison avec sursis et 5 000 euros d’amende pour la prévenue et 1000 euros pour le vétérinaire. En défense, les conseils ont tour à tout écarté la thèse d’un trafic de tortue. Me Angelico a évoqué une passion dévorante et la possibilité de détenir en toute légalité de tels spécimens. Sa consœur a quant à elle décrit le professionnalisme du vétérinaire et l’absence d’intérêt quelconque. “Il n’est pas non plus un spécialiste. Sur 26 000 animaux qu’il a traités, 29 sont des tortues.” Le tribunal a prononcé une amende de 2 000 euros à l’encontre du vétérinaire et 5 000 euros pour l’éleveuse

Pegguy Poletto (Var Matin)

 

    ARTICLE PUBLIE LE 16 AVRIL 2011 SUR CHINA.ORG:

Titre:  Madagascar: extinction des tortues étoilées

Les tortues étoilées de Madagascar, du nom scientifique "Astrochelys radiata " disparaissent de plus en plus dans l' environnement de la grande île, selon un écologiste malgache.

Cette espèce de tortues, qualifiée de l' une des plus belles du monde en raison des motifs étoilés des écailles de sa carapace, est classée en tant qu' espèce en danger, en voie d' extinction sur la liste rouge de l' Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et est inscrite à l' annexe I de la convention du " Commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction " (Cites) et dont sa vente est strictement interdite.

Les tortues terrestres se trouvant principalement dans la partie sud et sud-ouest de la grande île, est dédiée de plus en plus à la consommation et à l'alimentation, ainsi qu' à des fins de commerce illégal.

Mesurant une quarantaine de centimètre à l' âge adulte, la tortue étoilée peut peser jusqu' à 20 Kg, ce qui fait de lui un animal très vulnérable avec sa lenteur.

D' un côté, les collectionneurs d' animaux venant de l' étranger comme les Etats-Unis, l' Europe, ainsi que l' Asie exportent illicitement les tortues étoilées en passant par le Bangkok.

Selon une étude menée par des partenaires mondiaux orientés vers l' action pour l' extinction zéro de tortue en 21ème siècle, "avec ce rythme de consommation de sa viande et de son commerce illicite, il n' y aurait plus aucune espèce de cette tortue d' ici 20 ans". Agence de presse Xinhua

 

enlightened ARTICLE PUBLIE LE 06 DECEMBRE 2011 SUR RFI:

 

Titre: A Madagascar, 20 tortues en voie d’extinction sont réintroduites dans leur milieu naturel.

 

 

A Madagascar, on a fêté il y a quelques jours les 25 ans de la conservation de la tortue à soc, une espèce menacée d’extinction que l’on ne trouve plus qu’au nord-ouest de la Grande Ile. Pour l'occasion, 20 tortues à soc ont été réintroduites dans la nature dans la baie de Baly. Très réputée pour son allure, sa carapace et sa grande taille, cette espèce a pu être préservée grâce à la création d’un centre d’élevage dans un parc national, une vingtaine de spécimens à l’origine, et près de 300 aujourd’hui grâce à la reproduction. Depuis 2006, 65 ont été réintroduits dans leur habitat naturel réhabilité et protégé, mais la principale menace actuelle pour la tortue à soc est bien le trafic international.

Vingt tortues à soc ont été transférées de leur centre d’élevage d'Ankarafantsika vers leur habitat naturel. La réintroduction de l’espèce dans son milieu d’origine est l’objectif ultime de l’ONG Durrell Wildlife Conservation Trust (DWCT) qui travaille depuis 1986 avec le gouvernement.

« Il y a 25 ans, la principale menace était la perte de l’habitat essentiellement à cause du feu de brousse. On a réussi à maitriser ça plus ou moins avec l’aide de la population locale et du gestionnaire du parc national. Maintenant la menace a changé de visage et c’est surtout le trafic qui menace la tortue », explique un des membres de l’ONG.

La baie de Baly est aujourd’hui le seul lieu d’habitat naturel de la tortue à soc. 400 spécimens y ont été localisés en 2005 mais il y en a sans doute plus du double chez des particuliers asiatiques près à débourser plus de 5 000 dollars pour s’offrir cette espèce si précieuse.

Même si les douanes attrapent parfois des trafiquants en tout genre, la menace est réelle dans les cinq sites où l’animal vit jusqu’à trois cent ans. « On a installé des gardiens, on a sollicité l’aide des populations riveraines mais l’endroit est trop vaste pour être vraiment surveillé de près », déplore encore l’ONG.

Les spécimens remis dans la nature sont munis de micropuces et de transmetteurs radio pour que les scientifiques puissent suivre leur évolution. Mais sur les 45 tortues qui avaient été réintroduites depuis 2006, 4 ont été volées et une seule retrouvée.

 

 

Il est important de préserver notre environnement

Le 17/02/2010

 
 

 

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